Fin d’isolement et toujours positif
Il est temps d’achever cette série de billets à l’intérêt discutable – elle m’aura au moins fait écrire.
À J + 8 de mon premier test positif, soit dix jours après mes premiers symptômes, je sors officiellement de l’isolement. Hier, j’ai fait un nouveau test antigénique qui s’est révélé positif, mais peu importe : l’isolement dure dix jours maximum, c’est la règle, que l’on soit encore positif ou non. Je m’en étonne ; je n’imaginais pas qu’on pouvait reprendre le travail en étant positif eu égard à la panique que suscitait le virus avant que l’invasion de l’Ukraine ne le remît à sa juste place.
Il paraît qu’on peut rester positif pendant des semaines sans pour autant être contagieux. Sachant qu’il me reste très peu de symptômes et que je me sens plutôt bien, je vais pouvoir retourner travailler sans représenter, a priori, un danger pour mes collègues.
Finalement, malgré une rechute due à un manque de repos au moment où j’en avais le plus besoin, ce Covid (Omicron ?) n’aura été qu’une espèce de rhume tenace. Vu mon bon état de santé et malgré mon statut de non-vacciné, c’était prévisible.
Désormais, je n’ai plus qu’à attendre la disparition complète des symptômes pour effectuer un nouveau test antigénique et espérer qu’il soit négatif. Je pourrai alors bénéficier – il faut que je me renseigne sur les conditions – d’un laissez-passer vaccinal qui, puisque je n’ai reçu aucune dose, porte mal son nom.
Je vais avoir un pass alors que la suppression de ce dispositif est probablement imminente…
Mise à jour du 3 mars 2022 :
Contrairement à ce que je pensais, un test antigénique négatif n’est pas nécessaire pour obtenir un certificat de rétablissement donnant droit à laissez-passer. En revanche, tout ce la n’a plus d’importance puisque le pass vaccinal prendra fin le 14 mars. C’est une excellente nouvelle.
Mise à jour du 4 mars 2022 :
Mon pass sera valide à partir du 12 mars, soit deux jours avant la suspension de cette mesure et après plus de six mois de restrictions. La poisse !